Malgré son engouement pour les paris en ligne, MGM refuse de racheter Entain, un groupe Britannique et propriétaire de l’enseigne populaire Ladbrokes, qui avait laissé une offre de près de 8 milliards de livres. Plusieurs raisons poussent le géant des casinos Américain à accepter cette proposition. Une entreprise qui espérait ajouter à ses affaires l’un des maisons de casinos les plus importantes du Royaume-Uni, active dans le sport, les jeux d’argent de toute sorte dans ses propres boutique et en ligne.
Il n y a aucun cadeau pour Entain
MGM ne fera tout simplement pas une « offre ferme » pour Entain, d’après plusieurs réflexions et en raison des échanges stagnants existant entre les deux collaborateurs. Cependant, dans un communiqué, Entain confirme d’avoir pris note de la position de MGM. Toutefois, ce refus ne remet pas en cause la collaboration qu’il y a entre les deux groupes, particulièrement sur les jeux en ligne aux USA. Néanmoins, Entain confirme avoir une autre stratégie rassurante de développement et de croissance et montre d’être fortement motivé à collaborer étroitement avec MGM.
Entain veut vraiment une croissance équitable entre eux. En revanche, on est en face d’une offre significativement sous-évaluée. Cependant, ce dernier groupe qui s’appelait GVC, avait fait une révélation début janvier. Il avait reçu plusieurs propositions venant de MGM, parmi lesquelles la plus récente le donnait une valeur qui s’élevait à 8 milliards de livres.
Plusieurs facteurs affectent le géant MGM
Officiellement connu pour exploiter le Bellagio à Las Vegas, MGM Resorts a été impacté négativement par la fermeture ou la baisse de consultation de ses établissements à cause de la pandémie, comme les autres groupes du secteur. De ce fait, il avait souligné de licencier 18 000 salariés dans le pays jusqu’en fin août. Ainsi, le secteur des jeux paris est fortement agité par plusieurs évènements, depuis début septembre 2020. Mais, la soif de ce marché augmente encore depuis la décision de la Cour Suprême Américaine d’abolir la disposition qui interdisait les paris sportifs.