Grand focus sur ces jeunes pris, dans l’enchaînement des paris sportifs, les vigoureux de 18 à 24, dépassent le tiers des parieurs. Cet effectif a explosé pendant la coupe du monde de 2018 conjointement avec l’avènement des paris en ligne. Les médias Français se sont penchés sur ce phénomène et dévoilent quelques points importants qui étaient difficiles à découvrir.
Les paris sportifs deviennent une sorte de drogue pour les jeunes
D’après le cas d’Ilyas, un jeune de 23 ans, les choses sont plus claires. Il vit dans une agglomération Iyonnaise et travaille dans une entreprise publique très reconnue depuis ses 18 ans. Un peu raisonnable, il s’est constitué une bonne fortune, mais a tout perdu finalement 22 000 euros. Au début, c’était seulement les matches de football qui l’intéressant et l’aidait à bien faire ses paris, ainsi que grâce aux pubs et à des applis mobiles.
Il misait au point où tout son salaire allait dans ce business de paris sportif. Lui-même reconnaît qu’il était venu à niveau où il ne peut plus vivre sans parier : « on n’est pas fous ou pas intelligents, c’est vraiment une maladie à part entière… ». Ainsi, un tel emballement est qualifié « le symptôme de la dépendance ».
Les psychiatres s’expriment par rapport à ce sujet
D’après un psychiatre, les jeunes ont des difficultés par rapport à leurs salaires et aux dépenses quotidiennes qu’ils font. Cependant, le stress et l’angoisse les poussent à parier plus en croyant que ce serait la bonne solution pour guérir cela. Ainsi, c’est l’entrée dans une spirale qui pourrait être très négative pour leur vie. Les joueurs ou parieurs sont plus connectés aux réseaux des ados et montre que d’autres n’attendent pas d’avoir au moins 18 ans pour faire des paris. À titre d’exemple, Pol, un étudiant confirme ce fait et témoigne qu’il a commencé à l’âge de 15 ans. Dans le temps, il jouait dans des bureaux de tabac et parie sur plusieurs sports, tennis, foot, basket, etc.